Les meilleurs postes pour la pêche de la truite au toc

Comment trouvez les meilleurs postes pour la pêche de la truite au toc ? Décrypter vos rivières et comprendre la dynamique des courants est l’une des clés de la pêche de la truite au toc. En torrent alpin, entrecoupé de nombreuses vasques et cascades, ou en rivière plus large, avec des courants parfois importants, une dérive réussie est la clé d’une bonne présentation au poisson. 

Avant toute action de pêche, il est primordial d’observer la rivière pour déterminer les meilleurs poste pour la pêche de la truite au toc. Observer les courants et les zones de calme sera aussi la meilleure manière d’apprehender son lancer et sa dérive.

Cet article (et la vidéo associée, voir « Décrypter vos rivières », ci-dessus), vous invite à étudier les différentes configurations de rivières rencontrées dans les zones de montagne. Vous pourrez ainsi mieux appréhender vos dérives durant vos sessions de pêche de la truite au toc. Nous allons ici analyser, en vidéo, la dynamique de différentes rivières, mais aussi leurs courants, les obstacles, les contre-courants ou les différentes zones de profondeur.
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Les meilleurs postes pour la pêche de la truite au toc sur les rivières intermédiaires

D’un débit souvent assez important, car elles collectent les torrents adjacents, elles présentent souvent des blocs rocheux de taille importante directement dans leur lit. La pente peut être également assez forte, générant des cascades et des courants souvent importants. En outre, situées dans des zones encore montagneuses, elles s’inscrivent souvent dans des vallons encaissés. Ce sont les rivières les plus délicates à pêcher, que l’on privilégiera à l’étiage, en exploitant au maximum toutes les zones calmes (contre-courants, partie aval des blocs rocheux) et les bordures.

Les meilleurs postes pour la pêche de la truite au toc sur les rivières de piémonts

À mesure que la vallée s’élargit et que le relief s’estompe, le cours d’eau s’assagit. Le lit de la rivière devient large, les blocs rocheux se raréfient, et le courant s’uniformise. Avec des postes moins marqués, mais avec un débit davantage sensible aux intempéries ou aux lâchers des installations hydroélectriques, c’est davantage une rivière « à peigner » d’une manière méthodique, avec des dérives successives. Pour éviter d’effrayer les poissons en cas de touche, on démarre généralement du bord où l’on se situe, avant de s’éloigner progressivement en direction du centre de la rivière.

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